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Tu peux partir (David Marazzi/David Marazzi)

Qu'allons nous leur laisser(David Marazzi/David Marazzi)

Tu peux partir où bon te semble
Quitter maintenant la lande
Peu importe où sur la carte tu poses le doigt
Non la question n'est pas là

​

Prend l'autoroute ou fais des détours
Avion, voyage au long cours
Par les sentiers, chemins de fer, l'océan si tu veux
Pourvu qu'à la fin dans tes yeux

​

Enfin d'autres couleurs dedans, la mer, le vent
Les glaciers, les sommets blancs, les pieds des volcans,
Le vert des prairies, les grands lacs, les déserts géants, 
Tout ce que la terre donne, prends

​

C'est un nouveau monde à chaque pas
L'horizon ne finie pas
Comme un enfant, un étranger, volontaire abandonné
Découvre pour te trouver

​

Vibrer les jours, veiller les nuits
Vivre fort et sans répits
Et n'avoir pour seule richesse, ce goût de liberté
Aller de l'avant aller

​

Rester c'est mourir un peu, c'est manquer le feu
De se voir dans d'autres yeux, d'autres lieux
L'herbe est plus verte ailleurs, c'est toujours mieux
Tu peux partir aussi loin que tu peux

​

Aussi heureux que tu seras
A un moment tu verras
Par une pensée, la route inverse, peu importe la voie
Tu reviendras chez toi
Tôt ou tard , parce que c'est humain
Tu n'oublies jamais d'où tu viens

 

 

​



  Sublime, exquise c'est comme ça, que je l'a décrit
Sa mélodie est passionnante, sa poésie elle fascine
Elle donne veut une oreille attentive pour la ravir
Une magie intuitive voilà ce qu'elle inspire
Quelques mots, quelques notes et elle s'illumine

​

 La musique, c'est ma vie, mon équilibre,
Un message de l'intérieur vers l'extérieur

​

Aux rythmes multiples, elle anime et donne vie
La naissance de cette fragrance, joue de mes sens, mes sentiments         
Lorsque mon attention se détourne, son impatience s'est me trouver
Comme un soleil, elle inonde de radiation de sentiments bons

 

Sa  musique, c'est ma vie, mon équilibre,
Un message de l'intérieur vers l'extérieur

​

Je l'a côtoie depuis toujours, le temps n'est qu'illusion
Elle est ma nostalgie, ma folie, elle je m'enivre 
Elle lit en moi comme dans un livre, s'est inquiétant
Etonnante, détonante, si pétillante.

​

Nos mains tendues, pour le meilleur, 
fini mes peurs, direction, le bonheur

​

Sa  musique, c'est ma vie, mon équilibre,
Un message de l'intérieur vers l'extérieur
Nos  musique c'est nos vies notre équilibre,
Un message de l'intérieur vers l'extérieur

 

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Presque en dormie, bien décidée à sortir
Déjà dans la ville le petit jaune me ravive 
Au moment d'arriver je suis interpellée
Non loin d'elle, je l'a regarde mais elle tarde
Sa remarque en guise de bonjour me fait plaisir,
Un premier sourire de jolies yeux ronds et c'est partie

 

Empruntons le ptit vélo et laisse toi porter par le flots,
Quelques mots échangés autour de la pomme citronnée


Oh ohoh attirés par nos vibrations
Oh ohoh es ce le début d'une liaison
Oh ohoh nos sons résonnent à l'unisson
Oh ohoh N'est ce pas le fruit que de ma vision

​

Ses pas de danses sont cosmiques, ce moment est unique
Une seule envie, m'inspire à la faire virevolter sur un rock enflammé

Empruntons le ptit vélo et laisse toi porter par le flots,
Quelques mots échangés autour de la pomme citronnée

 

Oh ohoh attirés par nos vibrations
Oh ohoh es ce le début d'une liaison
Oh ohoh nos sons résonnent à l'unisson
Oh ohoh N'est ce pas le fruit que de ma vision

​

Un prétexte m'a suffit, sa voix pour le revoir, 
quelques textes chantés, je ne peux le juger,

Il a su me toucher ses yeux pétillaient

​

Empruntons le ptit vélo et laisse toi porter par le flots,
Quelques mots échangés autour de la pomme citronnée

 

Oh ohoh attirés par nos vibrations
Oh ohoh es ce le début d'une liaison
Oh ohoh nos sons résonnent à l'unisson
Oh ohoh N'est ce pas le fruit que de ma vision (X2)

 

Oh ohoh N'est ce pas le fruit que de ma vision

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J’me suis réveillé un beau matin
                       Avec l’envie folle d’aller bien                     

De m’dire tant pis, tant pis
Tant pis si la vie m’égratigne
De toutes ses ronces ses aubépines
Ça saignera, ça guérira
J’voulais plus m’attarder à broyer du noir
                                Laisser ma bonne humeur dans mes placards                               
J’ai  trouvé le pansement qu’il faut, mon placebo
 
J’me suis dis, youpi
J’me suis dis , happy
Comme un rempart un bouclier
Une parade pour mieux aller  
Décidé maint’nant , je crie    

youpi

Tu t‘sens concerné par c’qui t’entoure
T’écoutes les infos du matin chaque jour
Et tu crames
C’que t’as d’bonheur, tu l’crames
Ajoute à ça deux ou trois tuiles
Comme sur ton feu un peu d’huile
Et c’est la spirale infernale
C’est ton heure n’attends pas il est temps
De voir enfin les choses différemment
Je sais Ça vaut c’que ça vaut un placebo

Mais essaye youpi
Vas y dis happy
C’est pas d’la grande philosophie 
Pas vraiment une thérapie
Juste un choix de vie
Youpi

Pour les bobos les tracas d’l’ordinaire
Pour oublier p’tits soucis p’tites misères
Pour sucrer l’amer des journées à l’envers  

Youpi
J’me suis dis, happy
Et ça prend pas plus d’énergie
Que de voir tout mal ou tout gris
Décidé maint’nant , je crie youpi

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Nous avions l'eau
Nous n'avions qu'a joindre nos mains 
Dans les torrents, les rivières, les fontaines des anciens       
Nous avions l'eau
Maintenant polluée, rare et chère  
Monsieur trempe ses pieds dans sa piscine en bord de mer

    

Là sous nos pieds
Nous avions des terres fertiles
On récoltait ce qu'on semait, les corps étaient bien moins hostiles
Au jours de corvées
Animaux dans des fermes usines            
Molécules chimiques épandues, OGM, hybrides

​

Nous avions tout, nous avons trop, jusqu'à oublier qui nous sommes                

On s'est laissé prendre, on se questionne 
Qu'allons nous leur laisser, leur laisser
A nos enfants qu'allons nous leur laisser                                         
Des défis à relever, une planète à sauver
Pauvre de nous rien que nos yeux pour pleurer

​

Nous avions la lumière
Enfin la parade à la nuit
On veillait tard autour d'un feu, les longues soirées d'hiver
Ça nous a pas suffit
Qui sommes nous sans nos écrans
Nos vies sociales en réseaux, nos cerveaux dépendants

​

Nous avions l'air
Climat tempéré, vraies saisons
La nature avait ses lois, qu'on respectait comme une mère
D'avance pardon
Pour nos fumées, la couche d'ozone
Les gaz à effet de serre, les glaces des pôles

​

Des conférences ici et là, des discours à tour de bras
Des chiffres et tableaux grands formats
Est-il tard ou encore temps, ça fait longtemps qu'on se questionne
Partout autour les mêmes symptômes

​

Qu'allons nous leur laisser, leur laisser

Qu'allons nous leur laisser, leur laisser
A nos enfants qu'allons nous leur laisser                              
Des défis à relever, une planète à sauver
Pauvre de nous rien que leurs yeux pour pleurer

 

 

 

 

 

 

 

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Comme un cheval, il cavale, son parcours, interminable
Les obstacles justes des passages, Speedylow maître de la savane
Il fuse il fonce tel un éclair sur du bronze, son gallot toujours plus haut
Ses sabots sont claquants, son numéro toujours plus grand.
En pleine décadence des temps il galope sait même plus ou ses sens le porte
Ses efforts le propulse à des années d'où il se situe


Il dépasse les lois, de la physique, il gravite
Dans les airs, il plane tel un artiste en pleine frénésie

 

​

Speedylow dans sa course effrénée se rend compte qu'il est pommé
son chemin est alors sans fin, sa vie au bord du ravin.
Renoncer ou continuer tel la question avant de s'envoler
Finalement les obstacles traversés sont illuminés, c'était sa destinée.

 

En pleine décadence des temps il galope sait même plus ou ses sens le porte
Ses efforts le propulse à des années d'où il se situe
 

Il dépasse les lois, de la physique, il gravite
Dans les airs, il s'est réveillé et a réalisé qu'il était enchaîné

 

Il dépasse les lois, de la physique, il gravite
Comme envolé, dans les airs, il plane à lui la liberté

 

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C’est dans la nature humaine 
C’est tatoué en nous, sûrement une histoire de gènes                
Est-ce qu’on obéit à une loi originelle
Quel poison coule dans nos veines mais qu’est-ce qui fait que

    
Les gens n’aiment pas les gens (bis)


De la mauvaise foi se cache sous les beaux sourires apparents
Des pensées intéressées dans la main que l’on tend, on se ment tellement

​

Regarde-nous marcher sur les avenues vois comme on s’ignore
Comme on délaisse celui qui dormira dehors                       
Capable de tourner le dos à un ami, un frère, un parent   
A son unique enfant, quand on sait ça on s’dit forcément que


Les gens n’aiment pas les gens (bis)

 

On se séduit se marie et la justice un jour pour nous défaire
On dirait quoi qu’on fasse on s’éloigne on se prive de la lumière
Si belle des autres gens
Les gens n’aiment pas les gens       

 

Ah les gens,
Ils ne sont jamais vraiment à notre image, ailleurs de là où on les attend
Pas assez, trop, bien compliqués, de nous si différents
Tout nous sépare et pourtant

​

Que serions nous, sans nos élans d’humanité
Comme on se ressemble, quand on sait se rassembler                  
Quand on fait un pas vers l’autre, c’est un cadeau qu’on se fait
Une chance qu’on se donne de ne pas croire à l’absurdité 
   
Que Les gens n’aiment pas les gens (bis)

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Pourquoi est elle là, ce qu'elle te réclame
Elle tient toujours dans tes mains depuis gamin,
Le monde à ses pieds, les sons sont identités
Sulfureuse déterminée, s'est elle qui va t'emmener 

 

Oh beau café kafame, aux grands bonheurs de ses dames,
Juanita figure du Brésil se joue du bracadabram

​

Redoutable, toi vulnérable celle-ci te fais chanter
Sa cible toutes celles qui oseront te regarder
Pas si facile, il te faut la choisir
Ton destin alors tenu dans ses mains

 

Oh beau café kafame, aux grands bonheurs de ses dames,
Juanita figure du Brésil se joue du bracadabram

​

Elle convoite toutes celles autour de toi
Tes choix devenues, inexprimables
Es ce bien toi le joueur de Bossanova?
Elle qui te renvoi tout droit sur Katarina


Oh beau café kafame, aux grands bonheurs de ses dames,
Juanita figure du Brésil se joue du bracadabram
Oh beau café kafame, aux grands bonheurs de ses dames,
Juanita figure du Brésil se joue du bracadabram

 

 

 

 

 

 

 

 

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Quelque chose doit m’arriver               
Ça peut plus s’écouler encore des années comme ça,
Une éclaircie qu’une lumière soit, qu’un vent nouveau vienne emporter
Ces jours entiers sans vagues et sans éclats
Je suis à qui m’en délivrera


Quelque chose doit se passer 
Pour ne plus savoir enfin de quoi seront fait mes demains 
Les étoiles ont filé en emportant  mes vœux, mes rêves attendent une réalité
Souvent aux autres la chance, les bons chemins
Les coups de pouces du destin

​

Mais comment changer le cours des choses
J’demande pas l’bonheur à tout prix la vie en rose
Mais de temps en temps que ça explose
J’ai beau faire feu de tout bois      
Mes heures se consument ne brûlent pas
Mais qu’est-ce qui  me ferait,  me sauver de moi

​

Pris aux filets et aux sables mouvants
De tous ces plis qu’on prend et puis finalement qui nous prennent
A force de mots, de gestes pareils, à petit feu on se noie dedans
Si ce jeu là n'en vaut pas la chandelle
Faut jouer une partie nouvelle

​

Mais comment changer le cours des choses
J’demande pas l’bonheur à tout prix la vie en rose
Mais de temps en temps que ça explose
J’ai beau faire feu de tout bois      
Mes heures se consument ne brûlent pas
Mais qu’est-ce qui  me ferait me sauver de moi

​

Il paraît qu’il suffit de soulever la bonne pierre
Et que si je m’aide un peu le ciel exhaussera mes prières
La belle affaire

​

Mais comment changer le cours des choses
J’demande pas l’bonheur à tout prix la vie en rose
Mais de temps en temps que ça explose
J’ai beau faire feu de tout bois      
                                   Mes heures se consument ne brûlent pas                                    
Mais qu’est-ce qui  me ferait,  me sauver de moi

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La famille ton idylle, non loin ta folie
Toujours à donner, vas tu y'arriver?
Tes énergies te guident à l'instant présent
Laisse toi maintenant aller, comme au bon vieux temps
Comme au bon vieux temps
comme au bon vieux temps

 

Un pti père tranquille dans un cadre idyllique
Une pina colada paré au décalage
Des pti père oui tranquille pour une vie paisible
Attention la noyade, la garde est levée

​

Un cœur débordant, bien consciente du temps
Nos regards suffisent pas besoin de le dire
Profitons à tout prix de ces moments de vie
Laisse toi maintenant aller, comme au bon vieux temps
Comme au bon vieux temps
Comme au bon vieux temps

 

Un pti père tranquille dans un cadre idyllique
Une pina colada paré au décalage
Des pti père oui tranquille pour une vie paisible
Attention la noyade, le cap est donné

​

La famille ton idylle, non loin ta folie
Toujours à donner, vas tu y'arriver?
Tes énergies te guide à l'instant présent
Laisse toi maintenant aller, comme au bon vieux temps
Comme au bon vieux temps
comme au bon vieux temps


Un pti père tranquille dans un cadre idyllique
Une pina colada paré au décalage
Des pti père oui tranquille pour une vie paisible
Attention la noyade, la garde est levée

Un pti père tranquille dans un cadre idyllique
Une pina colada paré au décalage
Des pti père oui tranquille pour une vie paisible
Attention la noyade, le cap est donné
Comme au bon vieux temps
Comme au bon vieux temps
Comme au bon vieux temps
Comme au bon vieux temps

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Passe le temps qui fait grandir
L'enfant qui dort paisiblement
Premiers mots, marcher puis courir
Les mêmes schémas apparemment
Qu'est-ce qui fait qu'un jour 
Sa main tient une arme
Par quel manque d'amour
Il fait couler du sang 
Des larmes
La haine a forcément du charme
Pour qu'un homme y succombe 
A quel diable
A t-il vendu un jour son âme
Pour le chemin des ombres

​

Voilà de quoi l'homme est capable       
De quoi l'homme est capable

​

Passe le temps qui fait mûrir
L'enfant qui rêve tranquillement
Rien qui ne fait déjà pressentir
Les prémisses d'un futur grand
Qu'est-ce qui fait qu'un jour
De sa main une toile                              
Qu'aujourd'hui pour toujours
Au sommet des œuvres d'art
Le divin n'est pas impensable
Dans ce sourire au monde                    
Du génial
Dans ces yeux qui nous regardent
Au Louvre la Joconde

​

Voilà de quoi l'homme est capable       
De quoi l'homme est capable

​

Du pire et du meilleur
Mais qu'est ce qui fait qu'un jour           
Le plus beau ou l'horreur
Qui décide du cours
Des choses ?
Souvent lui mais aussi des choix que sa vie lui impose       
Mais grandiose
Quand il défend le poing levé une juste cause
Plus grande que lui mais capable
De changer l'histoire, au delà du blanc 
Du noir
Au delà des couleurs un homme à un autre est égal

​

Voilà de quoi l'homme est capable       
De quoi l'homme est capable

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Les lumières de la ville, comme je les connais bien
Tu verrais ça comme elles brillent du soir au matin
J'suis là sur un toit assis
Je m'offre à la brise ici
Longtemps

​

Voilà mon tableau, mon décor
Pendant qu'tu dors
                       Une solitude, balaise                         
Pendant qu'tu rêves

​

J'regarde filer les trains de nuit, ces guirlandes mobiles      
Chiens errants, les chats gris, les passants pas tranquilles
Les bancs sous les candélabres
Le balancement des arbres
On dirait dansants

​

Voilà mon tableau, mon décor
Pendant qu'tu dors
                           Une solitude, balaise                         
Pendant qu'tu rêves

​

La justice a tranché, la garde à la maman
Mon enfant, mon enfant...

Les lumières de la ville moi j'les connais bien

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T’as vu d’étranges lueurs dans le ciel
Des lumières intenses comme des éclairs  
Mais jusqu'à preuve du contraire, on est tout seul

T’as vu des films, lu des bouquins
On nous cache tout zone 51
Mais jusqu'à preuve du contraire, on est tout seul

​

Tu dis qu’on est petit, que l’univers est grand
Qu’on nous observe depuis longtemps
Depuis la terre, ou de galaxies à des année-lumières
Mais jusqu’à preuve du contraire, on est tout seul

​

Esprit es-tu là, le verre a bougé
Malédiction des maisons hantées
Mais jusqu'à preuve du contraire, on est tout seul

​

Tu ressens des choses dans des lieux saints
Des frissons comme si derrière quelqu’un
Mais jusqu'à preuve du contraire, on est tout seul

​

Tu dis paranormale activité
Des phénomènes inexpliqués
Assurément ,un monde parallèle, démons et Lucifer
Mais jusqu'à preuve du contraire, on est tout seul

​

A genoux croyant, tu pratiques ta foie
La vie, la mort t’as ta réponse à tout ça
Mais jusqu'à preuve du contraire, on est tout seul

​

Y’a des mécréants, y’a des pauvres pécheurs
Pour ceux qui suivent les voies d’un seigneur
D’un prophète ou messie, ça fait couler de l’encre et tant croiser le fer
Mais jusqu'à preuve du contraire, on est tout seul

​

On a tant besoin de croire on n'aime pas marcher à l’aveugle
Mais t’as vu le pouvoir, l’argent, le velours du fauteuil
Tout là haut des grands prêcheurs
A quoi tu crois, quelqu’un ça c’est clair, en fait son affaire
Mais jusqu’à preuve du contraire, on est tout seul

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Au cœur des vents, les feuilles dansent
Les rochers marqués par leurs temps
D'un ciel agité en pleine été
Ecumes nuageuses aux tumultes incessants
Rencontres majestueuses aux éclats de joie
Sourire de vie, magie des Bermudes

 

La montagne, les vents, les oiseaux qui chantent
Le fracas de la mer à l'abris des silences
L'échos de la pleine, simple cris de vie
Pureté de l'esprit, qui l'habite

​

Le bruit du ruisseau qui coule à tout moment
Transparent mouvement d'un courant agité
Triangle étincelant des arbres penchants
Regards lointains qui en dit tant    

 

La montagne, les vents, les oiseaux qui chantent
Le fracas de la mer à l'abris des silences 
L'échos de la pleine, simple cris de vie
Pureté de l'esprit, qui l'habite

​

Intact les craquements aux mains d'or qui tarissent, 
Une terre promise à celui qui l'a regarde

 

La montagne, les vents, les oiseaux qui chantent
Le fracas de la mer à l'abris des silences
L'échos de la pleine, simple cris de vie
Pureté de l'esprit, qui l'habite

 

La montagne, les vents, les oiseaux qui chantent
Le fracas de la mer à l'abris des silences
L'échos de la pleine, simple cris de vie
Pureté de l'esprit, qui l'habite

 

 

 

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Ça va finir
J'me sens comme sur un quai de gare 
A l'heure des départs
Mais ça va finir
J'aurais beau faire des pieds, des mains
Le rideau va tomber c'est certain

​

Fini la parenthèse enchantée
La bulle de savon va éclater
J'me sens comme un gosse au soir des dimanches
J'me sens voyageur au retour d'errances

​

A tout à l'heure
Ce n'est qu'une question de temps qui passe
Je reviendrai là, défaire mes masques
Oui tout à l'heure
Pour être à nu et jamais autant en vie
Oui quand les chansons s'éteignent, moi aussi

​

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Majestueuse (Thomas Cappé)

On est tout seul (David Marazzi/David Marazzi)

Les lumières de la ville(David Marazzi/David Marazzi)

De quoi l'Homme est capable (David Marazzi/David Marazzi)

Comme au bon vieux temps (Thomas Cappé)

Quelque chose doit m'arriver (David Marazzi/David Marazzi)

L'enchanteuse (Thomas Cappé)

Les gens n'aiment pas les gens (David Marazzi/David Marazzi)

Speedylow (Thomas Cappé)

Youpi (David Marazzi/David Marazzi)

Tandem (Anaïs Gastineau & Thomas Cappé)

Musicavie (Thomas Cappé)

A toute à l'heure (David Marazzi/Thomas Cappé)

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